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Paroles de nouveaux licenciés

Chaque année, notre club, comme toute association vivante, voit des membres le quitter pour diverses raisons : mutations, problèmes de santé par exemple. En parallèle, de nouveaux arrivants de tout âge expriment leur désir d’adhérer à notre structure.
Ces nouveaux membres, par leur sang neuf, sont la richesse de notre club. Dans un premier temps l’idée est souvent pour eux de se fondre dans une organisation qui fonctionne bien, gageons que très vite ils sauront nous apporter beaucoup afin de nous faire encore progresser.
Nous aussi, il y a plus ou moins longtemps, avons été «des nouveaux », alors, tâchons de bien les accueillir. Cet article leur donne la parole aujourd’hui :

Marie Laure LEVEQUE :

Tout se passe bien pour moi, j’ai effectué ma 7ème sortie hier, un très grand merci à André Potet et Luc Jourdran qui m’ont accueillie deux samedis après-midis avec bienveillance et simplicité.


C’est Jean Yves Le Daré, que j’avais tout d’abord contacté, qui les a chargés de m’accompagner dans ma reprise du vélo après 3 ans d’interruption.


Aujourd’hui je roule dans le groupe 7 avec Bernard Boisneau ou dans le 8 avec Patrice Vergely. Je me suis fait des amis que je salue en espérant bien sûr ne pas en oublier : Bernard, Gérard, André, Danièle, Paul et Marcel.


Grâce à eux j’ai retrouvé le plaisir de la découverte des petites routes, le sentiment de liberté que procure le vélo, le goût de l’effort ; ils ont été très attentifs à ne pas me démotiver en ralentissant l’allure en cas de difficulté, et souvent quelqu’un m’attendait afin que je reprenne sa roue.

En plus les anciens ne sont pas avares de bons conseils pour te faire progresser !

Pourquoi as-tu choisi le VCS ?

Au départ, par proximité géographique. En consultant le site du club, je me suis aperçue que le VCS était un gros club avec beaucoup de licenciés, et donc plusieurs groupes ayant chacun leur propre allure.
La façon aussi d’aborder le vélo, avec l’idée de plaisir, de partage m’a plu.
La présentation des circuits, la présence sur le site de l’adresse mail des sages, leurs photos montrent le côté pro du club.

Des choses à améliorer tout de même ?

Rien ne me vient en tête plus précisément. Je suis vraiment contente, ah ,tiens : j’aime bien les retrouvailles dans le local après la sortie, c’est l’occasion d’y échanger ses impressions entre membres des différents groupes , bref je suis heureuse de faire maintenant partie de la grande famille !

Jean Pierre BIDAUD :

Cela fait maintenant un an que je roule dans le club ; ma première sortie, c’était un mercredi, j’avais eu un accueil personnalisé de Jean Yves, j’en garde un bon souvenir.
Je sors le mercredi après midi avec le groupe des rapides, cela me convient, l’ambiance y est bonne et solidaire, cela me permet de progresser physiquement.
Par contre le dimanche je prends mon vtt, cela fait au moins vingt ans que j’en fais, j’aime le côté ludique de ce type de vélo. Pour l’instant, je sors encore à 80% avec mes anciens copains qui ne sont pas licenciés et que j’essaie de faire signer au club, mais ils ne sont pas faciles à convaincre ! Les autres fois je sors avec le groupe vtt du club avec qui j’ai participé aux Roc’h des Monts d’Arrée, un très bon souvenir ! D’ailleurs l’an prochain on ira faire la « Maxiverte à Domfront (61) sur 4 jours, du 14 au 17 mai.

 

Pourquoi as-tu choisi le VCS ?

C’est un peu tiré par les cheveux : c’est grâce à mon ancien coiffeur Yves Lucas qui a signé au VCS à sa retraite pour rejoindre son frère Guy. Il m’a convaincu, j’ai aussi passé une année agréable au club de Vertou, mais leur sortie du jeudi ne me convenait pas, celle du mercredi avec le VCS me convient beaucoup mieux.

Des choses à améliorer tout de même ?

Oui, un petit truc, mais avant je tiens à souligner que j’aime bien ce système de sorties encadrées par des sages, ils ont l’expérience, ils savent réguler un groupe. Bon, pour le petit truc à améliorer : ce serait bien que les circuits soient disponibles sur « openrunner « par exemple, afin de voir le profil altimétrique et de savoir où sont les difficultés, car moi, je connais bien les itinéraires vtt dans le coin, mais les routes alentour pas vraiment, j’ai donc des difficultés à doser mes efforts.