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2016 - Marathon

Six heures en poste pour assurer la sécurité du marathon

Pour assurer la sécurité des coureurs, des spectateurs et faciliter la circulation sur, ou à proximité des voies et des rues empruntées par le marathon de Nantes, des centaines de commissaires signaleurs étaient indispensables. Entre le pont Tabarly et le pont de Pirmil, ils étaient plus de soixante, mobilisés par le Vélo-club Saint-Sébastien, section cyclotourisme, qui s’investit depuis six ans.« La participation des cyclotouristes est l’occasion de s’associer à une manifestation sportive qui n’est pas notre discipline et c’est un petit plus pour les finances du club, confie Rémy Gourdon, le président du club.Et puis c’est sympa, on vient aussi pour l’ambiance. » Le rendez-vous est matinal. À 7 h 45, tout le monde doit être là pour recevoir consignes et tenue. Les signaleurs sont facilement identifiables mais malgré cela, le contact avec les automobilistes n’est pas toujours facile.« Certains ne comprennent pas les restrictions de circulation. Cela peut être parfois rugueux. Mais avec l’expérience, on s’habitue et on se blinde » , confient la plupart des signaleurs. À 8 h, ils sont tous en poste, bien que premier coureur ne soit annoncé qu’à 8 h 45 au pont Tabarly. Ensuite, ils devront attendre le passage du dernier concurrent du marathon, prévu à 13 h 47 au pont de Pirmil.

Voici quelques photos